Le 25/02/2020
Flexibles, conviviaux, générateurs d’échanges et de créativité… les qualificatifs ne manquent pas pour décrire les tiers lieux et autres espaces de coworking.
Face à la généralisation des activités nomades boostées par le digital et à l’essor de l’entreprenariat individuel et du télétravail, ces espaces ont le vent en poupe. Si les professionnels de l’immobilier de bureaux suivent de près cette tendance, comment se structure réellement ce nouveau marché ?
Remède à l’isolement social ou opportunité d’agrandir son réseau professionnel, travailler aujourd’hui dans un espace collaboratif permettrait de gagner en productivité, de s’intégrer au sein d’une communauté innovante et inspirante.
Généralement, l’utilisateur dispose d’un pack de base avec :
- mobilier
- accès à l’Internet fibre très haut débit
- au réseau téléphonique et informatique
- aux imprimantes, scanners et photocopieurs.
En open space le plus souvent mais avec parfois la possibilité de louer un ou plusieurs bureaux privatifs, certains tiers lieux jouent la carte du multiservice pour maximiser le bien-être de ses clients et la rentabilité du lieu.En option, ils peuvent proposer l’accès à des salles de réunion, de sport, à un parking privatif, un service d’archivage, une prestation de ménage ou encore des ateliers, des masterclass thématiques et des afterwork pour faciliter les échanges et développer les synergies d’affaires et le réseautage.
Dans ce paysage idyllique, il existe néanmoins quelques inconvénients : amateurs de calme, s’abstenir ! Souvent bruyants, ces espaces sont peu propices à la concentration, aux rendez- vous clients, voire à la confidentialité, le cas échéant. Autre problématique, lorsque l’activité se développe et que de nouveaux collaborateurs rejoignent l’entreprise, il n’est pas toujours aisé de leur trouver des bureaux disponibles.
Il existe quatre grandes familles d’espaces pour free-lances et autres entrepreneurs indépendants :
Un point commun entre ces lieux, la volonté de mixer les profils d’utilisateurs ainsi que les initiatives publiques et privées pour créer de la richesse et de la diversité génératrices d’émulation professionnelle.
Côté exploitant, il peut s’agir de structures privées, d’associations, de coopératives ou encore d’une collectivité en régie. La plupart de ces entités rassemblent financements privés et aides publiques.
Selon une étude du Crocis (Centre régional d’observation du commerce, de l’industrie et des services)(1), publiée par la CCI Paris Île-de-France en mars 2016, 56 % des projets soutenus par la région Île-de-France sont portés par des associations, 27 % par des collectivités et 14 % par des PME.
Dans ce contexte de croissance rapide boostée par l’essor de l’économie numérique, le succès du coworking et la démultiplication de ces nouveaux espaces suscitent l’intérêt des opérateurs d’immobilier d’entreprises. De grands groupes se positionnent d’ores et déjà sur ce secteur, à l’image de Nexity avec l’offre « blue office » (5 espaces en Île-de-France), Icade avec le programme « Smart Desk » ou bouygues Immobilier via son concept « Next Door » déjà lancé à Issy-les-Moulineaux.
Côté centres d’affaires, les acteurs traditionnels du secteur ont dû faire face à l’évolution du paysage concurrentiel. Les experts du cabinet d’études Xerft(2) estiment que « l’activité des centres d’affaires traditionnels n’a progressé que de 2,5 % en valeur sur l’année 2015, contre une croissance de 6,6 % il y a encore 3 ans ». Cette réalité les a donc encouragés à s’inspirer du fonctionnement des nouveaux espaces de coworking. Il s’agit de transformer la menace en opportunité. Certains proposent donc désormais des lieux dédiés au travail collaboratif offrant à la fois souplesse en termes d’engagement et haut niveau d’équipement. Les profils visés sont variés : ils vont de la grande entreprise en recherche de « bureaux satellites » à la jeune pousse dans l’esprit start’up. C’est le cas de Multiburo avec « Le Spot », de NCI avec son « Smart Work Center » ou de Regus avec « Stop and Work », dont orange et la Caisse des dépôts sont aussi actionnaires.
Regus s’intéresse également de près à l’implantation de tiers lieux dans les zones de transit comme les gares et les aéroports. Les gares franciliennes sont d’ailleurs particulièrement stratégiques, puisque plus de 3 millions de voyageurs y passent quotidiennement. Dans le cadre du Grand Paris, le métro Grand Paris Express comptera 72 gares en réseau, dont certaines entièrement nouvelles qui pourraient offrir aux voyageurs des services inédits pour favoriser le travail nomade. Un gisement de développement pour les espaces de coworking.
Source :https://www.fnaim.fr/3978-coworking-immobilier-entreprise.htm
Le 24/01/2020
La plupart des Français ont aujourd'hui recours au crédit immobilier pour financer leur acquisition. Mais quelle somme faut-il demander à votre banque ? Entre le prix d'achat, les frais annexes et le montant de son éventuel apport personnel : comment faire le calcul de son pouvoir d'achat immobilier ? Réponses.
Pour évaluer votre capacité d'emprunt, vous devez connaître votre taux d'endettement. La règle est la suivante : la mensualité à rembourser chaque mois pour un prêt immobilier ne doit pas être supérieure à 33% de vos revenus.
Pour calculer rapidement votre taux d'endettement, vous pouvez utiliser la formule suivante : Montant du/des crédits(s) × 100 ÷ revenus nets = Taux d'endettement
La grande majorité des banques vous demandera de quel montant d'apport vous disposez. Et pour obtenir un taux de crédit avantageux et des conditions privilégiées, il est préférable d'avoir environ 20% du montant du prêt que vous souhaitez obtenir. S'il s'agit d'un prêt immobilier pour acheter votre résidence principale, votre apport pourra être de 10% du montant de l'opération.
Ainsi, si vous souhaitez obtenir un crédit de 200 000 euros pour l'achat d'un bien immobilier, votre apport personnel devra être au minimum de 20 000 euros. Dans certains cas, les banques acceptent les financements sans apport, mais ce n'est pas automatique et il faudra justifier le fait que vous n'ayez pas encore d'apport.
Outre le prix du bien immobilier en lui-même, l'acquisition d'un bien immobilier comporte différents frais annexes qui peuvent alourdir le montant de votre prêt :
Différents prêts complémentaires existent et peuvent vous aider à acquérir votre bien immobilier. Ces dispositifs peuvent être considérés par les établissements prêteurs comme un apport personnel et viennent ainsi diminuer le montant du crédit immobilier. C'est le cas notamment pour le prêt Action Logement (ex 1% logement) ou le PTZ.
Une fois tous ces éléments pris en compte, vous pourrez calculer le montant du prêt immobilier dont vous aurez besoin. Il vous suffit d'additionner les frais liés à l'achat de votre bien et d'y soustraire le montant de votre apport personnel.
Pour réduire le montant de votre emprunt immobilier, la bonne astuce est de faire jouer la concurrence. Pour cela, n'hésite pas à demander à plusieurs banques leurs conditions de financement. Vous pouvez également demander à un courtier immobilier de vous accompagner dans cette démarche.
Source :https://immobilier.lefigaro.fr/annonces/edito/financer/le-credit-immobilier/comment-determiner-le-montant-de-votre-pret-immobilier
Le 19/12/2019
Découvrez nos quelques conseils simples et efficaces pour améliorer le confort chez vous.
REVÊTEMENTS DE SOLS
Moquettes : En cas de tache, résorbez au maximum le produit renversé au moyen d’un linge propre ou d’un essuie-tout. Ne pas frotter, ni étaler. Utilisez avec précaution un détachant de qualité ou un shampooing spécial moquette.
Sols carrelés ou PVC : N’utilisez pas de produits agressifs, ni de lavage à grande eau qui entraînent une usure prématurée des revêtements.
Parquets : Ne nettoyez pas les parquets à l’eau. Ils doivent être balayés, aspirés ou cirés régulièrement. Les parquets vernis ou vitrifiés peuvent être rafraîchis à l’aide d’une serpillière légèrement humide.
INSTALLATION ÉLECTRIQUE
Votre installation électrique supporte une certaine puissance électrique au-dessus de laquelle votre disjoncteur “saute”.
Si le problème rencontré persiste, demandez à votre fournisseur d'énergie d’augmenter la puissance desservie dans votre installation moyennant un surcoût de votre abonnement.
FENÊTRES
Pour éviter l’apparition d’humidité, vérifiez que les rainures d’égouttage et les évacuations d’eau de vos fenêtres ne soient pas obstruées. Pour une ouverture facile des fenêtres, huilez les charnières et les parties mobiles. Les châssis PVC ou aluminium ne doivent être ni peints, ni percés. Les barres de voilage peuvent être fixées dans les murs ou à l’aide de fixations adhésives.
CLÉS
Pour faire refaire un jeu de clés, utilisez les services d’un serrurier professionnel. Si vous changez une serrure (ou un canon), veillez à ce que la qualité du nouveau matériel soit identique ou supérieure à l’ancien matériel. Nous vous conseillons de laisser un double de vos clés chez le concierge ou chez un voisin. Il sera possible d’intervenir dans votre logement en cas d’urgence.
DIGICODE
S’il en est équipé, l’accès de votre immeuble est protégé et limité aux personnes ayant connaissance du code.
Afin de conserver la confidentialité de ce code, communiquez-le uniquement à vos proches.
VMC : AÉRATION
La VMC (Ventilation Mécanique Contrôlée) est un ventilateur qui aspire l’air des logements pour le renouveler. Lorsque le bien en est équipé, les bouches d’extraction sont souvent situées dans les pièces humides (salle de bains, WC, cuisine). Cet air renouvelé permet d’évacuer humidité et poussière.
Quelques conseils pour éviter les problèmes liés à une mauvaise aération du logement (condensation sur les vitres, moisissures…) :
• ne bouchez jamais les arrivées d’air frais situées dans les fenêtres, ni les bouches d’aération
• aérez régulièrement votre logement
• laissez l’air circuler sous les portes
• nettoyez les bouches d’extraction sans en modifier le réglage.
CHAUFFAGE
Chauffage collectif : Si votre immeuble est équipé d’un chauffage collectif, la régulation est automatique. En cas de manque de chauffage dans l’une des pièces, vérifiez la purge du radiateur.
Chauffage individuel électrique : Choisissez la position du thermostat qui vous convient pour chaque radiateur pour maintenir une bonne température. Le convecteur, avec son thermostat, se remet en route lorsque la température voulue n’est plus atteinte.
Chauffage individuel gaz : La chaudière ne se mettra en marche qu’une fois les conditions suivantes réunies :
• Pression suffisante de l’eau dans l’installation (si nécessaire manœuvrez la vanne d’arrivée d’eau pour atteindre la pression au manomètre)
• Vanne d’alimentation en gaz en position ouverte (très souvent position parallèle au tuyau d’alimentation en gaz)
• Alimentation électrique effective
CUMULUS ÉLECTRIQUE
Un ballon d’eau chaude fonctionne automatiquement.
Si votre compteur électrique est équipé d’un tarif jour/nuit, la production d’eau chaude s'enclenchera automatiquement la nuit pour bénéficier du service nuit. Vérifiez cependant que le contacteur sur le panneau de fusibles soit bien positionné sur AUTO. Pour éviter une fuite, vous devez faire fonctionner très régulièrement le groupe de sécurité de votre cumulus. Il vous suffit d’ouvrir la vanne de sécurité du cumulus quelques instants.
PLOMBERIE
Robinetterie : Un nettoyant ménager courant suffit. Évitez les poudres, les tampons abrasifs et décapants. Du vinaigre blanc dilué dans de l’eau dissout facilement le calcaire. Pensez à détartrer régulièrement les mousseurs et à remplacer les joints de vos robinets.
WC : Un nettoyage régulier avec un produit javelisant et anticalcaire évite l’entartrage de la cuvette. Pour éviter les fuites de chasse d’eau, démontez le bouchon flotteur pour le détartrer.
Lavabo : Pour nettoyer le siphon, démontez- le en plaçant une cuvette au- dessous.
Afin de louer rapidement votre bien sur la métropole lilloise, notre équipe Relooking du Service Location est là pour faciliter la location et éviter une éventuelle vacance locative en proposant de remettre aux goûts du jour votre bien !
Pour cela, nous analysons l'attractivité de votre bien, et apportons dans des délais très courts une solution optimisée avec des prix négociés permettant de vous assurer une relocation rapide.
RELOCATION MOYENNE APRÈS LES TRAVAUX DE RELOOKING : 10 JOURS
Le 16/12/2019
Les relations propriétaire-locataire vont-elles enfin pouvoir s'apaiser ? C'est l'objectif de la proposition de loi qui doit être déposée au parlement au plus tard en janvier. Et le drame de Montauban, intervenu dans la nuit du 13 au 14 novembre, quand le propriétaire d'une maison venu récupérer des impayés de loyers a tué par arme à feu la locataire et la petite amie de son fils, rappelle tragiquement combien ces relations peuvent être tendues.
Le texte, qui sera soumis au préalable à l'avis du Conseil d'Etat, vise à mettre en musique le rapport « Louer en confiance » , présenté en juin dernier par l'auteur de la proposition de loi. La plus spectaculaire des 37 mesures avancées concerne la garantie des loyers impayés. L'élu préconise d'en confier la responsabilité aux professionnels pendant toute la durée du bail, dans le cadre d'un nouveau type de mandat de gestion locative obligatoire. Elle passerait aussi, selon le rapport initial, par la consignation auprès d'un organisme tiers du dépôt de garantie, lequel constitue le premier motif de litige entre le locataire et son bailleur.
Mais, depuis deux mois, les débats se sont tendus entre le député et des professionnels de l'immobilier. A l'occasion de son congrès des 26 et 27 novembre derniers, la Fédération des professionnels de l'immobilier (Fnaim) a défendu ses adhérents bec et ongles.
« Ce rapport a des vertus opérationnelles, a concédé Jean-Marc Torrollion, président de la Fnaim, mais Mickaël Nogal, qui a annulé sa venue à notre congrès, nous a proposé de mauvaises solutions en nous confisquant le dépôt de garantie alors que nous sommes des tiers de confiance. » Sans fermer complètement la porte au député, il a prévenu : « Réfléchissons ensemble, mais il ne lui appartient pas de nous dicter nos honoraires ni nos comptes d'exploitation. »
Signe de cette crispation, le patron de la Fnaim avait alors annoncé qu'il ne se rendrait pas à la réunion prévue autour du député Nogal le 27 novembre. La Fédération y était toutefois représentée par son président adjoint, Loïc Cantin. Quelques jours auparavant, au 10e congrès de l'Union des syndicats de l'immobilier (Unis) où il s'était cette fois rendu, le député avait dû faire face à la bronca de professionnels. Il était venu défendre sa proposition de loi, en se risquant à dire que leurs honoraires étaient trop élevés. Il avait quand même été finalement applaudi au terme de son intervention.
Depuis, le climat s'est adouci. Mickaël Nogal semble avoir rassuré les professionnels en faisant un grand pas dans leur direction. Ces derniers garderaient la mainmise sur le dépôt de garantie, pour eux la ligne rouge à ne pas franchir.
Autre sujet d'inquiétude, le caractère obligatoire de ce nouveau mandat de gestion locative et ce qu'il implique. A savoir, le transfert aux professionnels du risque des impayés. Si un locataire n'a pas payé son loyer à la bonne date, le bailleur se verrait quand même rémunéré par l'intermédiaire grâce à un mécanisme d'assurance. Cette idée est applaudie par les propriétaires, comme le révèle une récente étude de SeLoger. 70 % des bailleurs interrogés se disent prêts à passer par des agents immobiliers si ces derniers les sécurisent contre leurs craintes d'impayés et de dégradations du bien. Sauf que les professionnels redoutent de voir les petits acteurs de la gestion locative, pour qui le coût des assurances pourrait devenir prohibitif, écartés.
Cette mesure aurait aussi, d'après eux, pour effet pervers un durcissement des conditions d'accès des locataires. « C'est tout le contraire », assure Mickaël Nogal. La création de cette obligation d'assurance, que proposent déjà certains mandataires, permettra d'en diminuer le coût pour tous, en mutualisant le risque. Les petits cabinets pourront alors concurrencer les grands, tous proposant le même service de base. La mesure augmentera l'accès au logement des locataires avec des conditions moins restrictives.
Face aux dernières positions du député, la Fnaim se montre plus conciliante, mais reste prudente. « Ce nouveau mandat de gestion peut être une opportunité pour notre profession, reconnaît Jean-Marc Torrollion. Il est pertinent mais devrait rester libre. Nous voulons en cerner tous les impacts techniques. Et je ne veux pas que notre métier bascule chez les assureurs. » Des assureurs que la Fédération compte réunir prochainement sur ce sujet.
Du côté du député Nogal, l'heure n'est plus à la concertation mais à la rédaction des détails techniques. « Après un an de travail, plus de 800 heures d'audition, 500 entretiens, 14 déplacements en région et deux mois intenses de concertation fructueuse avec les professionnels, nous rentrons dans le temps législatif. » Il revient désormais aux parlementaires de clarifier la doctrine du « Louer en confiance ».
Source :https://www.lesechos.fr/patrimoine/immobilier/immobilier-la-proposition-de-loi-qui-veut-pacifier-les-relations-proprietaire-locataire-1154539?fbclid=IwAR3c92iDCZ9g-eyZvjtI96CXEivxZmZct18eLSF3KMJPXrGAkA_AwbdkSFE#utm_source=le:lec0f&utm_medium=click&utm_campaign=share-links_twitter
Votre agence immobilière sur Lille, Lille Centre, Lille Vauban, Lille Gambetta, Vieux Lille, Lambersart, Lomme, Loos et Armentières.
Nous utilisons des cookies sur ce site pour améliorer votre expérience utilisateur
Nous utilisons des cookies et d'autres technologies de suivi pour améliorer votre expérience de navigation sur notre site, pour vous montrer un contenu personnalisé et des publicités ciblées, pour analyser le trafic de notre site et pour comprendre la provenance de nos visiteurs. En savoir plus sur notre Politique de confidentialité.
J'accepte
Je refuse
Gérer mes préférences