Communication presse
Le 29/04/2015
"Notre entreprise va fêter cette année ses 70 ans. Je le dis avec une certaine fierté car nous avons traversé les époques en nous adaptant aux évolutions de la société. Entre la vente, la location et la gestion de biens, nos différents métiers nous permettent de sentir de façon très précise le pouls du marché.
Mais si je devais retenir une qualité commune à nos métiers, je dirais sans hésitation : l'écoute. Derrière chaque client : acheteur, vendeur, copropriétaire, bailleur, locataire, se cache toujours une histoire. Notre métier consiste avant toute chose à comprendre une situation et écouter un besoin. Ce n'est qu'une fois que l'on a saisi et cerné ces projets de vie que l'on peut trouver une solution appropriée. Avant de s'intéresser aux biens, il faut s'intéresser aux personnes. L'Humain doit être au coeur de chacune de nos activités. C'est une valeur qui n'a jamais quitté notre société et ses collaborateurs et à laquelle je tiens particulièrement. Sans doute est-ce l'une de nos clés de notre réussite.
Oui, tout agent immobilier doit être méthodique et connaître un nombre important d'informations juridiques, techniques, fiscales... mais toutes ces données, il faut les faire vivre. Nous ne sommes pas là pour ouvrir des portes ou fournir des clés, nous devons accompagner nos clients.
Fixer un prix en fonction d'un marché, faire un bilan régulier sur les moyens mis en oeuvre, animer et analyser les visites... Le bon conseil et l'accompagnement sont les qualités premières d'un agent immobilier. En vente ou en location, il ne faut jamais perdre de vue que nos clients ont avant tout un projet !"
Philippe DESCAMPIAUX, Président Citya Descampiaux et Associés Immobilier
Télécharger le fichier : 297-58-interviewvisiteimmoavril2015.pdf
Le 17/09/2013
Le marché immobilier de Lille a connu une forte baisse du nombre de transactions depuis un an. Le point sur le marché par Philippe Descampiaux, dirigeant de Descampiaux Immobilier.
Philippe Descampiaux : Depuis un an, nous enregistrons un net recul du volume de transactions, la baisse a été de 20% au premier semestre et devrait se situer autour de 10% pour le second. Globalement nous constatons toutefois depuis la rentrée un timide retour d'acheteurs, mais on ne peut en aucun cas parler d'euphorie.
Philippe Descampiaux : Tout dépend du type de biens et de la localisation, globalement ils sont restés stables dans l'agglomération, sauf pour les logements en mauvais état avec des travaux, dont les tarifs baissent. En revanche, nous notons depuis le début de l'année une nette diminution du décalage qui existait entre le prix de mise en vente et le prix réel des transactions. Les propriétaires ont enfin compris que si leur bien n'est pas vendu dans les deux mois c'est en raison d'un prix trop important. La grande majorité accepte donc de baisser ses prétentions, ce qui contribue à fluidifier le marché.
Capital.fr : Quels sont les segments de marché les plus actifs ?
Philippe Descampiaux : Dans des budgets inférieurs à 150.000 euros, nous avons toujours de la demande, essentiellement de la part de primo-accédants en première couronne et d'investisseurs ou de parents d'étudiants qui cherchent des petites surfaces pour loger leurs enfants dans Lille intra-muros. Pour les appartements, les budgets oscillent entre 130.000 et 300.000 euros, selon la surface et l'état, au-delà de cette fourchette, les acheteurs sont nettement plus rares. Pour les maisons, le gros des ventes se fait dans des tarifs de 140.000 à 350.000 euros.
Philippe Descampiaux : Un appartement en bon état dans le centre-ville de Lille se négocie entre 2.500 et 3.000 euros le mètre carré, dans les secteurs moins cotés et en première couronne il faut plutôt tabler sur des budgets de 1.700 à 2.000 euros le mètre carré. Pour les maisons traditionnelles en briques à Lille, la grosse majorité vaut entre 350.000 et 400.000 euros, sauf les belles bourgeoises qui se négocient entre 400.000 et 600.000 euros. Les bâtisses des années 1930 valent plutôt entre 180.000 et 200.000 euros dans les secteurs un peu moins cotés, et les gros pavillons cossus des années 1950 entre 220.000 et 240.000 euros.
Philippe Descampiaux : Euratechnologie, est en train de se développer très rapidement et où le neuf coûte entre 2.600 et 3.800 euros le mètre carré. Dans un proche avenir, les secteurs proches comme Lomme ou les Bois Blancs devraient en profiter. Les alentours de la gare Saint Sauveur qui est en pleine mutation sont également intéressants.
Philippe Descampiaux : Oui, car notre agglomération est dynamique et draine une forte population d'étudiants et de jeunes actifs. En revanche cette année, nous avons noté que les relocations ont été plus tardives que précédemment, beaucoup de nouveaux locataires ont commencé à chercher un logement en août, contre juin précédemment. Et les loyers n'ont pas progressé, bien au contraire, dans le meilleur des cas, les prix de relocation correspondaient au loyer précédent.
http://www.capital.fr/immobilier/zoom-sur-une-ville-et-sa-region/sur-le-marche-immobilier-de-lille-les-acheteurs-ont-la-main-871180
Le 29/04/2013
Les médias nationaux titrent sur la baisse des prix de l'immobilier, y compris à Paris. Une situation inédite. Dans un tel contexte d'instabilité du marché de la vente, des répercussions sur le locatif sont-elles possibles ? Nous posons la question, ce dimanche, à un agent immobilier de la métropole lilloise.
La baisse des prix des biens immobiliers à la vente a-t-elle un impact sur le niveau des loyers ? Nous posons la question à Philippe Descampiaux, agent immobilier lillois. D'emblée, notre interlocuteur souligne que « les deux données, au départ, n'ont pas de lien ». Et de rappeler comment se forment les prix : celui de la location et celui de la vente. Pour l'un comme pour l'autre, « la réponse unique, c'est le marché ».
Un marché pour le moins agité. Pour ce professionnel expérimenté — qui sort justement d'une réunion avec des collègues de la métropole lilloise — la conjoncture actuelle, pour les ventes, est à comparer... avec la météo : « Il n'y a plus de tendance très nette, la situation est chaotique. » Et de préciser : « Juillet, août et septembre ont été mauvais, novembre et décembreont été bons, janvier pas bon, février et mars bons ! ». En résumé : « Les modèles sont perturbés ». Et les locations ? « Le marché est perturbé aussi, moins tendu, plus souple, avec une offre plus abondante qu'elle ne l'est habituellement ». Pourquoi les marchés sont-ils ainsi perturbés ? « Parce que la France est perturbée », tranche l'agent immobilier.
Est-ce le moment d'acheter ? C'est la question que beaucoup se posent. Mais quand, à titre exemple, nous faisons allusion aux analyses locales qui indiquent une baisse des prix de 6 % dans le quartier lillois — habituellement coté — de Vauban, Philippe Descampiaux nuance : « Il n'y a pas tant de baisse que cela à la vente. Car les 5 à 6 % de baisse récente sont à comparer avec les 10 % de hausse annuelle de la période antérieure ». Revenant sur le marché locatif, notre interlocuteur concède « un peu de retard à l'allumage ». Surtout, il résume ainsi l'état d'esprit de tous ceux qui doivent ou auraient dû changer de logement actuellement : « Sauf cas de divorce ou études, quand on peut différer, on le fait ».
En raison des perturbations, l'acheteur diffère. Du coup, qu'en est-il de l'investissement locatif ? À cela, Philippe Descampiaux répond par un seul mot : « Rendement ». Selon lui, le rendement — qui est la somme des loyers bruts rapportée à la valeur vénale du bien immobilier — reste constant. Et de rappeler que ce rendement est « de 3 à 4 % pour du neuf, 5 à 6 % pour de l'ancien, montant à 6-7 % pour des petites surfaces ». Évidemment, l'investisseur aura envie « d'aller vers le rendement le plus élevé ». Donc, il tiendra compte dans ses options du niveau des taux d'intérêt et du rendement des autres placements.
Revenant à la question initiale du lien entre marché de la vente et marché locatif dans un contexte de crise, Philippe Descampiaux s'attarde sur l'importance du tissu économique dans le secteur géographique où se situent les biens immobiliers. Il compare la métropole lilloise à d'autres agglomérations françaises : ici, pas de risque d'un accident massif qui viendrait, du jour au lendemain, geler toutes les transactions, en raison d'une baisse généralisée de l'activité économique. En revanche, le professionnel estime que nos villes — moyennes et petites — sont plus exposées: « Quand le tissu économique ne résiste pas, les ventes et les locations s'effondrent en même temps. »
CHRISTOPHE DRUGY
Le 20/06/2008
Cette manifestation, destinée à l'association "Neuf de Coeur" et présidée par Jean-Pierre Papin, a réuni plusieurs générations autour du ballon rond (élèves, anciens élèves, journalistes et anciens professionnels de Lens et de Valenciennes).
Plus d'un millier de personnes étaient présentes durant cette journée.
A l'heure du déjeûner, face à une sélection de 15 ans de la région, se trouvait l'équipe des Terminales (essentiellement licenciée de l'US Bondues).
Cette formation dispute chaque printemps depuis neuf ans un tournoi de football à Los Angeles.
Grâce à la participation de l'agence immobilière, 2 jeunes footballeurs ont pu s'envoler pour cette compétition.
Citya Descampiaux sera de nouveau là l'année prochaine, même endroit, pour une belle journée pleine d'animation !
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