Le 15/04/2020
Indice pour le 1er Trimestre 2020 Parution le 15 avril 2020 |
Indice de référence des loyers : 130.57
Variation annuelle en % : +0.92%
Le 16/03/2020
⚠️ IMPORTANT : PRÉVENTION SANTÉ ⚠️
Conformément aux directives du Président de la République, toutes les agences Citya Descampiaux ferment provisoirement et jusqu’à nouvel ordre.
Néanmoins nos services continuent. Ils s’adaptent à la situation sanitaire actuelle en relation avec les pouvoirs publics.
Si vous faites partie de nos clients locataires, propriétaires bailleurs ou copropriétaires:
Nous vous rappelons que vous bénéficiez d’un espace personnel consultable depuis notre site internet www.descampiaux.fr.
Espace Locataire: https://www.descampiaux.fr/espaceperso.asp?espace=maloc
Espace Propriétaires Bailleur: https://www.descampiaux.fr/espaceperso.asp?espace=monbail
Espace Copropriétaires : https://www.descampiaux.fr/espaceperso.asp?espace=macopro
Espace Vendeur : https://www.descampiaux.fr/espaceperso.asp?espace=mavente
Il vous permet d’y trouver de nombreux renseignements et fonctionnalités.
Nos équipes se sont organisées pour assurer une continuité de service et restent joignables par mail.
Au vu des circonstances, nous ferons en sorte de traiter toutes demandes dans les meilleurs délais.
La santé de tous est notre priorité.
Nous vous remercions de votre compréhension, et prenez soin de vous.
Le 25/02/2020
Flexibles, conviviaux, générateurs d’échanges et de créativité… les qualificatifs ne manquent pas pour décrire les tiers lieux et autres espaces de coworking.
Face à la généralisation des activités nomades boostées par le digital et à l’essor de l’entreprenariat individuel et du télétravail, ces espaces ont le vent en poupe. Si les professionnels de l’immobilier de bureaux suivent de près cette tendance, comment se structure réellement ce nouveau marché ?
Remède à l’isolement social ou opportunité d’agrandir son réseau professionnel, travailler aujourd’hui dans un espace collaboratif permettrait de gagner en productivité, de s’intégrer au sein d’une communauté innovante et inspirante.
Généralement, l’utilisateur dispose d’un pack de base avec :
- mobilier
- accès à l’Internet fibre très haut débit
- au réseau téléphonique et informatique
- aux imprimantes, scanners et photocopieurs.
En open space le plus souvent mais avec parfois la possibilité de louer un ou plusieurs bureaux privatifs, certains tiers lieux jouent la carte du multiservice pour maximiser le bien-être de ses clients et la rentabilité du lieu.En option, ils peuvent proposer l’accès à des salles de réunion, de sport, à un parking privatif, un service d’archivage, une prestation de ménage ou encore des ateliers, des masterclass thématiques et des afterwork pour faciliter les échanges et développer les synergies d’affaires et le réseautage.
Dans ce paysage idyllique, il existe néanmoins quelques inconvénients : amateurs de calme, s’abstenir ! Souvent bruyants, ces espaces sont peu propices à la concentration, aux rendez- vous clients, voire à la confidentialité, le cas échéant. Autre problématique, lorsque l’activité se développe et que de nouveaux collaborateurs rejoignent l’entreprise, il n’est pas toujours aisé de leur trouver des bureaux disponibles.
Il existe quatre grandes familles d’espaces pour free-lances et autres entrepreneurs indépendants :
Un point commun entre ces lieux, la volonté de mixer les profils d’utilisateurs ainsi que les initiatives publiques et privées pour créer de la richesse et de la diversité génératrices d’émulation professionnelle.
Côté exploitant, il peut s’agir de structures privées, d’associations, de coopératives ou encore d’une collectivité en régie. La plupart de ces entités rassemblent financements privés et aides publiques.
Selon une étude du Crocis (Centre régional d’observation du commerce, de l’industrie et des services)(1), publiée par la CCI Paris Île-de-France en mars 2016, 56 % des projets soutenus par la région Île-de-France sont portés par des associations, 27 % par des collectivités et 14 % par des PME.
Dans ce contexte de croissance rapide boostée par l’essor de l’économie numérique, le succès du coworking et la démultiplication de ces nouveaux espaces suscitent l’intérêt des opérateurs d’immobilier d’entreprises. De grands groupes se positionnent d’ores et déjà sur ce secteur, à l’image de Nexity avec l’offre « blue office » (5 espaces en Île-de-France), Icade avec le programme « Smart Desk » ou bouygues Immobilier via son concept « Next Door » déjà lancé à Issy-les-Moulineaux.
Côté centres d’affaires, les acteurs traditionnels du secteur ont dû faire face à l’évolution du paysage concurrentiel. Les experts du cabinet d’études Xerft(2) estiment que « l’activité des centres d’affaires traditionnels n’a progressé que de 2,5 % en valeur sur l’année 2015, contre une croissance de 6,6 % il y a encore 3 ans ». Cette réalité les a donc encouragés à s’inspirer du fonctionnement des nouveaux espaces de coworking. Il s’agit de transformer la menace en opportunité. Certains proposent donc désormais des lieux dédiés au travail collaboratif offrant à la fois souplesse en termes d’engagement et haut niveau d’équipement. Les profils visés sont variés : ils vont de la grande entreprise en recherche de « bureaux satellites » à la jeune pousse dans l’esprit start’up. C’est le cas de Multiburo avec « Le Spot », de NCI avec son « Smart Work Center » ou de Regus avec « Stop and Work », dont orange et la Caisse des dépôts sont aussi actionnaires.
Regus s’intéresse également de près à l’implantation de tiers lieux dans les zones de transit comme les gares et les aéroports. Les gares franciliennes sont d’ailleurs particulièrement stratégiques, puisque plus de 3 millions de voyageurs y passent quotidiennement. Dans le cadre du Grand Paris, le métro Grand Paris Express comptera 72 gares en réseau, dont certaines entièrement nouvelles qui pourraient offrir aux voyageurs des services inédits pour favoriser le travail nomade. Un gisement de développement pour les espaces de coworking.
Source :https://www.fnaim.fr/3978-coworking-immobilier-entreprise.htm
Le 24/01/2020
La plupart des Français ont aujourd'hui recours au crédit immobilier pour financer leur acquisition. Mais quelle somme faut-il demander à votre banque ? Entre le prix d'achat, les frais annexes et le montant de son éventuel apport personnel : comment faire le calcul de son pouvoir d'achat immobilier ? Réponses.
Pour évaluer votre capacité d'emprunt, vous devez connaître votre taux d'endettement. La règle est la suivante : la mensualité à rembourser chaque mois pour un prêt immobilier ne doit pas être supérieure à 33% de vos revenus.
Pour calculer rapidement votre taux d'endettement, vous pouvez utiliser la formule suivante : Montant du/des crédits(s) × 100 ÷ revenus nets = Taux d'endettement
La grande majorité des banques vous demandera de quel montant d'apport vous disposez. Et pour obtenir un taux de crédit avantageux et des conditions privilégiées, il est préférable d'avoir environ 20% du montant du prêt que vous souhaitez obtenir. S'il s'agit d'un prêt immobilier pour acheter votre résidence principale, votre apport pourra être de 10% du montant de l'opération.
Ainsi, si vous souhaitez obtenir un crédit de 200 000 euros pour l'achat d'un bien immobilier, votre apport personnel devra être au minimum de 20 000 euros. Dans certains cas, les banques acceptent les financements sans apport, mais ce n'est pas automatique et il faudra justifier le fait que vous n'ayez pas encore d'apport.
Outre le prix du bien immobilier en lui-même, l'acquisition d'un bien immobilier comporte différents frais annexes qui peuvent alourdir le montant de votre prêt :
Différents prêts complémentaires existent et peuvent vous aider à acquérir votre bien immobilier. Ces dispositifs peuvent être considérés par les établissements prêteurs comme un apport personnel et viennent ainsi diminuer le montant du crédit immobilier. C'est le cas notamment pour le prêt Action Logement (ex 1% logement) ou le PTZ.
Une fois tous ces éléments pris en compte, vous pourrez calculer le montant du prêt immobilier dont vous aurez besoin. Il vous suffit d'additionner les frais liés à l'achat de votre bien et d'y soustraire le montant de votre apport personnel.
Pour réduire le montant de votre emprunt immobilier, la bonne astuce est de faire jouer la concurrence. Pour cela, n'hésite pas à demander à plusieurs banques leurs conditions de financement. Vous pouvez également demander à un courtier immobilier de vous accompagner dans cette démarche.
Source :https://immobilier.lefigaro.fr/annonces/edito/financer/le-credit-immobilier/comment-determiner-le-montant-de-votre-pret-immobilier
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